• Le crowdfunding ou financement participatif, une autre idée de placement pour les particuliers.

     

    Le crowdfunding ou encore appelé financement participatif se décline sous différentes formes : financement d’entreprises de croissance, de micro projets, crédit à la consommation, micro crédit solidaire.

    Le financement participatif met en relation des investisseurs avec des porteurs de projets par l’intermédiaire d’une plate-forme internet.

    Dans notre article, nous nous intéresserons au financement des entreprises de croissance, start-ups ou PME non côtées.

     

    Le financement participatif est une alternative pour les particuliers aux autres placements financiers. Il s’agit d’investir des dans entreprises à fort potentiel de retour sur investissement qui peut être estimé entre 2 et 10 fois la mise sur un horizon de cinq ans tout en bénéficiant d’une réduction d’impôt de 18% pour l’IR et de 50% pour l’ISF.

    Si le gain attendu est élevé, il ne faut pas en revanche sous estimé le risque, l’entreprise peut faire faillite et le particulier perdre son investissement.

    L’investisseur sélectionne sur la plate-forme internet l’entreprise dans laquelle il veut investir selon des modalités pratiques très simples. Ces entreprises auront fait l’objet au préalable d’une étude complète tant sur le plan stratégique que financier par la plate-forme dont l’agrément en Conseiller en Investissements Financiers reçu est un gage de confiance.

     

    Le financement participatif est une autre forme d’investissement dans la mesure où le particulier ne se contente pas seulement d’apporter son épargne, mais il peut également faire bénéficier l’entreprise de son expérience ou de son réseau..

    La levée de fonds permet aux personnes physiques d’investir dans l’économie réelle, de financer la croissance d’une entreprise et de contribuer à la création d’emplois.


  • Commentaires

    1
    Samedi 21 Novembre 2015 à 00:39

    Nous sommes d’ailleurs dans une période de stabilisation de plusieurs marchés dont celui de l’immobilier. Contrairement à l’idée reçue, un risque de bulle n’est pas à craindre aux vues du montant constant de liquidité présent sur le marché. Cette stabilisation semble d’autant plus concrète que l’on peut espérer courant 2015 une nouvelle réglementation visant à encadrer les loyers à Paris afin de limiter les possibilités de création d’une bulle immobilière et donc d’un crack du secteur de l’immobilier.

    Suivre le flux RSS des commentaires

    Vous devez être connecté pour commenter